Ce n’est pas une news mais… Des réflexes et des réflexions qui dédramatisent l’impact du e-commerce sur le commerce physique. Bonne écoute et prenez des notes. On ne le dira jamais assez : le magasin n’est pas mort…Mais il doit faire des changements de comportement pour garantir sa place dans notre société ultra connectée.
Merci à Catherine Barba pour cette démonstration motivante et tellement pétillante.
(Cliquez sur l’image pour accéder à la vidéo.)
A télécharger également, l’étude complète proposée par Catherine Barba. D’un intérêt évident à la fois pour les commerçants ainsi que pour les différents conseils qui les croisent au quotidien.
Un mois en fort recul pour le commerce spécialisé
L’activité du commerce de détail spécialisé (es secteurs d’activités comme l’alimentaire spécialisé, la restauration, l’équipement de la personne, l’équipement de la maison, l’hygiène et santé, les loisirs, l’automobile, les services) finit le mois de mars 2015 en forte baisse à – 5,3 %, par rapport à mars 2014, à périmètre comparable, selon l’enquête de panel mensuel de Procos (50 enseignes interrogées sur leurs performances dans 50 pôles de référence, situés dans 15 agglomérations).
Cette évolution se réfère à un historique favorable : le mois de mars 2014 avait fini à + 1,6 %.
Les décalages calendaires ont en partie joué : mars 2015 comptait le même nombre de jours ouvrables que mars 2014, mais avec un samedi en moins. Le décalage d’environ 15 jours des vacances d’hiver a pu également modifier certains comportements d’achat des Français. En revanche, les conditions climatiques, très proches des normales saisonnières, se sont révélés neutres.
La chute d’activité touche tous les lieux de commerce. Le commerce de centre-ville finit le mois à – 6,3 % (- 5,7 % pour les boutiques de rez-de-chaussée et – 7,1 % pour les boutiques en galerie marchande), derrière le commerce de périphérie à – 4,8 % (- 5 % pour les formats de moyennes surfaces et – 4,6 % pour les boutiques en
galerie marchande).
Tous les secteurs d’activités sont également impactés. L’hygiène beauté santé et la culture loisirs résistent mieux, mais finissent malgré tout le moins en négatif, respectivement à – 1 % et à – 3 %.
La rédaction de vos emailings passe par quelques règles simples.
La réussite de vos campagnes d’emailings est conditionnée par quelques règles (astuces) simples de rédaction que vous retrouvez ici.
A appliquer sans modération…
1. Personnaliser votre campagne d’emailing
Un email avec un objet personnalisé obtient un taux d’ouverture supérieur de 29% par rapport à un objet non personnalisé.
2. Emailing responsive
Près de 25% des emails sont ouverts sur un smartphone, une tendance forte et en augmentation constante. Si votre email n’est pas optimisé “responsive” , vous augmentez considérablement le risque de perte de l’information. Après tant d’effort, quel dommage…
3. Ciblage
Pourquoi envoyer des milliers de d’email quand seulement quelques centaines sont nécessaires? Le ciblage est sans doute la chose la plus importante de votre stratégie. De plus, vous risquez de dégrader votre e-réputation avec cette méthode (très largement répandue par ailleurs) car beaucoup de destinataires vont soit directement mettre ce mail à la poubelle soit direcement le passer en “indésirable”… Pensez-y : le bon message à la bonne personne, au bon moment… c’est possible
4. Le preheader
Rappelez-vous!! Près d’un quart des emails sont lus sur un smartphone. Le préheader va vous aider. Et l’utiliser seulement pour le lien de la version en ligne (quand elle existe) est donc largement déconseillé. Utilisez cette possibilité pour apporter plus d’informations et faciliter l’ouverture tant attendue et si précieuse
5. Le design
Vos destinataires reçoivent un nombre importants de mail tous les jours. Comment pensez vous qu’ils trient (au-delà du préheader)? Le coté graphique est donc un point important. Les email sans graphismes sont nettement moins lus que ceux dont le design est soigné.
6. Les liens
Si les destinataires ne comprennent pas ce qu’ils doivent faire ensuite, vous avez manqué votre coup et la conversion de votre message risque d’en pâtir. Alors, n’oubliez pas le bouton d’appel à l’action !
Il existe aujourd’hui de nombreux outils qui vous permettent de réaliser tout cela dans d’excellentes conditions pour peu que vous sachiez vous débrouiller avec vos outils graphiques (bonne dimension des images, bon format) et surtout quelques connaissances pour la rédaction de vos contenus.
Des solutions e-marketing pour le commerce de détail et de proximité
Le marketing digital est et sera de plus en plus au coeur de la transformation de l’entreprise.
Toujours à l’affut de nouveaux outils capables d’apporter de la valeur ajoutée à notre offre de service, Capital-clients.com sera bien entendu présent au salon E-MARKETING Paris 2015.
Dès que possible, nous reviendrons vers vous pour vous faire une présentation de ces outils marketing via le filtre des attentes du commerce de détail et de proximité.
Au programme :
Comment créer un e-mail marketing efficace en 2015 ?
Les 5 principes de l’Engagement Marketing .
Peut-on se passer de Google et comment ?
Garder le contact avec son audience grâce au retargeting : mode d’emploi.
Les 5 tendances clés en email marketing en 2015.
Drive, ClicK & Collect, Prise de RDV, Store Locator … Décuplez votre CA en magasin grâce à une stratégie digitale performante .
Techniques de scoring client en pratique.
Street Marketing™ – Parcours client : Du Marketing Alternatif à la Fidélisation Omnicanal
Et bien d’autres thèmes encore…
Bref, 3 journées des plus intéressantes pour le commerce de détail
Six innovations e-commerce et retail présentées à Vadconext
Le commerce de détail sera profondément changé dans les années à venir.
Cette année encore, le salon lillois Vadconext a été l’occasion pour les start-up de montrer les innovations qu’elles ont développées pour les acteurs du retail et de l’e-commerce.
Retrouvez l’article complet de ces avancées bientôt incontournable du commerce de détail et des intéractions avec le digital. Sans doute pour le plus grand bonheur des sociétés éditrices de ces applications, mais aussi sans doute pour les consommateurs… à voir, quand même. Ceci étant, c’est encore pour les grandes enseignes mais gageons que prochainement ces outils seront déployés aussi pour les entreprises du coin de la rue, les commerçants qui donnent une âme à une ville.
Smart-data, big-data, parcours client, propositions commerciales ciblées, tout y passe. Chez WPM, nous y travaillons déjà ..
Retrouvez l’article ici et prenez le temps de le lire.